| سوق أهراس مديرية الشؤون الدينية تسحب 150 مصحفا محرفا
كشف رئيس جمعية البحث العلمي بسوق أهراس لآخر ساعة عن وجود العديدمن المصاحف عبر مساجد سوق أهراس محرفة مما يسيء للعقيدة الإسلامية وعلى العبادةوقراءة القرآن الكريم، وقد طالبت الجمعية بالإسراع بسحب المصاحف المحرفة لتفاديالتأويلات وسوء الفهم وقد سجلت Vieux bâti à Souk Ahras Le fardeau des années
Des cas d’effondrement partiels - fort heureusement sans pertes humaines - ont été signalés ces dernières années, notamment à Bir Youcef, à Tagtaguia où la vétusté des constructions, remontant à plus d’un siècle et jamais rénovées, sont dans l’indivision ou dans des situations litigieuses entre propriétaires et locataires ou héritiers, dont certains sont déjà à leur troisième génération. Suite..... Djafri SOUK AHRAS Enquête judiciaire dans deux APC
La gestion financière de la commune de Safel El Ouidène (daïra de Bir Bouhouch) a récemment fait l’objet d’une enquête judiciaire, menée sur la base de doléances adressées par des élus de la même commune aux différentes instances, et dans lesquelles ils reprochent à leur P/APC plusieurs anomalies dans certains dossiers administratifs et l’utilisation des biens de la commune à des fins personnelles. Suite... سوق اهراس
سجلت مصالح المفتشية البيطرية لولاية سوق اهراس، خلال الأسبوع الفارط، عدة حالات للسل بقطعان الأبقار لأحد مربي بلدية الحنانشة. وبعد قيام الفرق البيطرية بمختلف الفحوص تم التأكد من إصابة أربعة أبقار، حيث قام صاحبها بتحويلها للذبح بعد إنهاء مختلف إجراءات التعويض. ومن جهة أخرى تم الكشف عن حالة واحدة للحمى المالطية لدى أحد مربي الأبقار ببلدية المشروحة، وقد تم ذبح البقرة المصابة بعد إنجاز مختلف الإجراءات والتدابير المتعلقة بالتعويض. Université de SOUK AHRAS 12 000 places pédagogiques en 2009 Le centre universitaire de Souk Ahras, qui attire déjà des étudiants des quatorze wilayas de l’est du pays, est appelé à atteindre, d’après les déclarations du premier responsable de la wilaya, les 12 000 places pédagogiques et 1000 lits supplémentaires en 2009, en sus de ceux réalisés en 2006. Il est à rappeler que 3300 postes d’emplois temporaires et permanents ont été générés par la réalisation de la nouvelle cité universitaire au lieudit Fattouma Essouda. SEDRATA Négligence mortelle Décidément, certains propriétaires de véhicules ne prennent pas assez de précaution en stationnant, et devant la curiosité des enfants c’est l’irréparable, comme c’est le cas à Sedrata (Souk-Ahras) où le propriétaire d’un véhicule de marque Boxer a oublié de sécuriser sa voiture avec le frein à main en y laissant les clés. C’est ainsi que sa sœur a tenté de la démarrer en actionnant la clé, ignorant que le levier de vitesse n’était pas au point mort. Elle a violemment percuté sa sœur de 14 ans. La petite Sihem a rendu l’âme en cours de route vers l’hôpital de Guelma. K. Mehr
Aïn Seynour Cadre de vie précaire
1 mort et 3 blessés dans un accident Un homme a été tué et trois autres blessés dans un grave accident survenu avant-hier à Aïn Seynour (commune de Mechroha), apprend-on auprès des services de la Protection civile qui ont évacué les victimes vers l’hôpital régional de Souk Ahras. Suite... 1 mort et 17 blessés dans un accident de la circulation
Une personne a été tuée et 17 autres blessées dans un accident survenu, hier matin, suite à une collision entre un camion et un fourgon de type J9 au niveau du rond-point de la cité Ibn Rochd. Suite... SOUK AHRAS Le PDG de Lasa appelé à d'autres fonctions Le groupe Texmaco a récemment procédé à la nomination d’un nouveau directeur par intérim à la tête du complexe lainier Lasa, en remplacement au PDG, Chérif Noui, appelé à d’autres fonctions, après une gestion qui n’aura duré que sept mois. En butte à des campagnes de déstabilisation, à un surendettement auprès des banques et de la Cnas, à une concurrence déloyale et à la saturation du marché national, cette gestion n’a pu produire les effets escomptés, malgré une volonté de redressement perceptible chez l’ex-responsable. Il est à rappeler que son prédécesseur, l’ex-PDG, en l’occurrence M.Rezaïguia, démissionnaire de son poste au mois de juillet 2007, avait fait l’objet, auparavant, d’une contestation de la part des travailleurs sanctionnée par son remplacement, à sa demande, par le premier cité. Ce dernier changement, qui coïncide avec le récent départ de 100 travailleurs dans le cadre de plusieurs formules préconisées par les responsables du groupe, celle du départ volontaire entre autres, est perçu comme un signe avant-coureur d’une inévitable liquidation de l’entreprise après plusieurs tentatives d’assainissement, administratif et financier. A.D Les Chinois investissent dans l’agriculture La société chinoise CMTC et la Direction de l’hydraulique de la wilaya de Souk-Ahras viennent de signer un accord portant sur la revalorisation de quelque 1.500 ha au sud de la wilaya pour un montant de 177 milliards, un investissement qui profitera aux communes de Sedrata, Zouabi et Bir Bouhouch. L’opération concerne l’installation des canalisations d’irrigation à partir du gigantesque barrage de Oued Charef dont la capacité s’élève à 157.000 m3, ainsi qu’à la formation de la main-d’œuvre spécialisée dans la poduction de semence de blé et de pomme de terre. La chose en question oblige l’investisseur chinois à employer une main-d’œuvre algérienne (quelque 150 travailleurs des 3 communes sus citées). Le projet en question touchera aussi quelque 700 ha des 2.200 ha situés dans la commune de Ksar Sibhi (w. de Oum El-Bouaghi) انعدام أخصائي التوليد
تظل النساء الحوامل القاصدات مصلحة التوليد لغرض عمليات الوضع بالمؤسسة الاستشفائية العمومية "هواري بومدين" بدائرة سدراتة يتملكهن الخوف على حياتهن أثناء فترات مراحل المخاض المصاحبة وولوجهن الأمومة والطفولة بسبب انعدام تواجد أخصائي ثابت بمقر ذات الهيئة الاستشفائية خاصة وأنها تستقبل يوميا العشرات يصل أحيانا حدود الـ40 امرأة يوميا حسب مصادر مطلعة واردة "للنهار" قادمة لأجل الوضع أي ما يعادل حوالي280 أسبوعيا مما يجعل القابلات المؤهلات المقدر عددهن بـ 10 يواجهن عديد المصاعب العملية في تأدية مهامهن خاصة خلال بعض العمليات المستعصية التي تستوجب أخصائي مما يجبر الساهرين نقل اللواتي يواجهن صعوبات أثناء فترات عملية المخاض المتعلقة بخروج الجنين لاسيما وأن ذات الحالات يصل عددها تقريبا من 3إلى 4 في الأسبوع الواحد على مدار السنة مما يحتم نقل هذه الحالات إلى مستشفيات أخرى بدءا بالمستشفى الجهوي بسوق أهراس ومستشفيات الولايات المجاورة كعين البيضاء بولاية أم البواقي ، المستشفى الجهوي "ابن رشد" بعنابة وقالمة. يحي سالمي حملة للقضاء على الكلاب الضالة بسوق أهراس شرعت، بلدية سوق اهراس في حملة للقضاء على الكلاب المتشردة للحد من انتشار هذه الظاهرة التي تهدد حياة المواطنين، بالإضافة إلى العبء الذي يثقل كاهل القطاع بالولاية جراء المخصصات المالية الكبيرة الموجهة لإقتناء كميات اللقاح اللازمة للتكفل بالحالات الناجمة عن عضات الكلاب، حيث أشار رئيس مصلحة الوقاية العامة أن الولاية تحصي سنويا أكثـر من 1500حصة، وفي حين تأتي بلدية سوق اهراس في المرتبة الأولى من حيث تسجيل أكبر عدد حيث بلغت الحالات الموبوءة 120حالة تليها المشروحة بـ 79 حالة، ثم عين الزانة بـ 45 حالة كماسجلت الولاية شهر جانفي لوحده 400 عضة للكلاب الضالة . غرايبية عامان سجنا نافذا لمهرّب العاج
توقيف شبكة للتهريب والمتاجرة بالأسلحة
حجز وإتلاف لحوم فاسدة تمكن مكتب حفظ الصحة لبلدية سوق اهراس، من خلال 63 تدخلا كان قد قام به منذ شهر جانفي الفارط في إطار حماية المستهلك من التسممات الغدائية، من حجز 9 كلغ من مادة النقانق غير صالحة للإستهلاك. ذات الفرق كثفت من نشاطها سيما على إثر الحريق الذي نشب بالسوق المغطاة ورتي عبد الرحمان، حيث حجزت 4 كلغ ونصف من أحشاء الدجاج ونصف هيكل للحم الخروف لا يحمل ختم المصالح البيطرية، بالإضافة إلى مواد غذائية مختلفة. وقد أسفرت عملية مراقبة المقصبات ومحلات بيع الدواجن والتي تم خلالها توجيه 12 إعذارا في حق الباعة المخالفين لشروط النظافة إلى إتلاف كمية معتبرة من السمك غير صالح للإستهلاك من طرف أعوان الأمن الحضري. سوق أهراس قضية وفاة طفل بمستشفى وضع ستة أشخاص تحت الرقابة القضائية وضع قاضي التحقيق لمحكمة سوق اهراس ،أمس، ستة أشخاص من بين الأربعة والعشرين الذين مثلوا أمامه في قضية وفاة الطفل زين الدين ضيف، تحت الرقابة القضائية. ويتعلق الأمر بكل من رئيس غرفة العمليات والطبيبة المشرفة على التخدير وتقنيين إثنين في التخدير وعاملين في التركيب. وكان قاضي التحقيق قد أجرى يوم أمس وإلى غاية اليوم مختلف التحريات مع الأربعة والعشرين شخصا الذين مثلوا أمامه، ليتم وضع ستة منهم تحت الرقابة القضائية سوق أهراس |
La vieille ville suffoque L’absence des aires de stationnement est une autre entrave à la fluidité du trafic routier et à la circulation des piétons notamment au niveau de la rue de l’ALN, celle d’Ibn Badis et celle de Ouarti Abderrahmane. Des goulots d’étranglement au niveau du pont de la gare ferroviaire et plusieurs autres points du centre-ville rendent difficile la tâche des agents de la circulation et provoquent des accidents sans gravité, certes, mais fréquents. La randonnée des Vaches. La randonnée des vaches Quotidiennement, on voit des animaux, vaches, moutons, chiens errants sillonner des quartiers populaires, longeant l'autoroute de la plaine ouest, telles les cités Ibn Rochd , Berral Salah, Chaaabani, Bir Youcef, Tagtaguia et autres coins de la ville donnant ainsi des images désolantes au visage de la ville de Souk Ahras, réputée jadis belle et coquette.
La présence de ces animaux dans ces lieux constitue ainsi un danger permanent pour les automobilistes, mais aussi pour les passants et plus particulièrement les enfants fréquentant les établissements scolaires. Suite... H. Souheila Niveau critique du barrage d’Aïn Dalia
Conséquence de la sécheresse qui caractérise la région en cette saison d’hiver, le niveau du barrage Aïn Dalia, dont la capacité est de 82 millions de m3, a baissé à un niveau critique puisqu’on n’a enregistré que 30 millions de m3, un seuil qu’il n’atteint, généralement, qu’à la fin de l’été. A ce sujet, des mesures d’urgences ont été prises par l’Algérienne des eaux afin d’assurer l’alimentation en eau potable de ses clients, qui sera dorénavant assurée une journée sur quatre. Les puits abandonnés depuis 1982 (date de mise en service du barrage) seront réhabilités. Ces puits dont sept sont situés à Taoura, deux à Mechroha, un à Heddada, un à Sedrata et un à Drean fourniront quelque 320 l/s soit 15.000 m3 quotidiennement. Ce plan d’urgence permettra d’atteindre 45.200 m3 et assurer ainsi l’approvisionnement avec 33.500 m3/jours, ce qui est largement suffisant pour ne pas avoir soif. Notons, par ailleurs, que quelques 300 fuites ont été enregistrées à travers la wilaya, d’où le risque de voir le niveau du barrage continuer à baisser et par conséquent provoquer une crise certaine avec l’approche de l’été. Par : K. Mehri Syndicats autonomes Le Snapap se structure Eclipsé pendant une année à cause de différends organiques et d’une bipolarité existante au sein de l’instance centrale, le Snapap revient en force à Souk Ahras, notamment depuis la montée au créneau des syndicats autonomes lors des dernières grèves cycliques.
Des adhésions massives ont été constatées dans des secteurs, où le malaise social a atteint le summum et les conflits socioprofessionnels sont légion. Il s’agit, entre autres, des secteurs de la santé, des collectivités, des finances et de la formation professionnelle. Suite... Flambée des prix. Les prix de la viande blanche se sont envolés depuis la semaine dernière à Souk Ahras. D’ailleurs et à la veille de chaque fête religieuse, c’est le cas du Mawlid Ennabaoui, les prix de toutes les viandes, rouges ou blanches, connaissent une hausse. .
Au marché central, il y a de cela une quinzaine de jours, le prix du poulet etait affiché à 190 dinars le kg, maintenant il est monté en flèche et dépasse allégrement les 280 et 290 DA. Les éleveurs expliquent cette hausse par la cherté des aliments de volaille. Un argument peu convaincant, puisque dans les wilayas avoisinantes, les prix de ces produits sont stables et à la portée des bourses limitées. D’autres commerçants justifient la hausse des prix par les intempéries qui ont sévi dans la wilaya de Souk Ahras, alors que le poulet est en abondance et le problème d’approvisionnement ne s’est jamais posé. A Souk Ahras et dans tous les marchés, les prix affichés sont inabordables et cette ville renoue avec la flambée des prix à chaque veille du Mawlid Ennabaoui Deux agents de la SGS sous les verrous Deux agents de la société de gardiennage et de surveillance (SGS) ont été placés, avant-hier, en détention préventive par le tribunal de Souk Ahras pour un vol qualifié qu’ils avaient commis, quelques jours auparavant, à l’unité des peintures de Souk Ahras (UPSA). Désignés dans cette unité, conformément à une convention signée conjointement par les deux entreprises, les mis en cause, répondant aux initiales de K.M. (30 ans) et K.L. (32 ans), ont détourné, durant l’exercice de leur activité, une quantité de produits finis estimée à 50 000 DA. Présentés devant le parquet, ils n’ont pu nier les faits qui leur ont été reprochés par les enquêteurs. Le représentant du ministère public a requis une peine de 7 ans de prison ferme, alors que l’avocat de l’entreprise a plaidé pour une sanction sévère, ainsi que le versement d’une amende de 40 000 DA par les auteurs de cet acte au profit de l’UPSA. Le directeur de l’entreprise, constitué en partie civile, a déclaré, à l’issue de l’audience, qu’il s’agit d’un précédent au sein de cette structure, que l’administration doit réprimer par voie de justice. A. Djafri . Les prix fous des matériaux de construction . Des entrepreneurs se sont rassemblés, samedi matin, devant le siège de la wilaya de Souk Ahras pour dire toute leur impuissance face à l'inexorable déferlante qui s'abat sur les prix des principaux matériaux de construction.
Une donne malencontreuse qui vient fausser toutes les prévisions de départ et condamner nombre de projets à des arrêts aussi impromptus que brutaux. Il faut reconnaître que cet impondérable, pas du tout exclusif à la wilaya de Souk Ahras n'est pas de nature, loin s'en faut, à booster la dynamique de développement local qui connaît paradoxalement un épanouissement certain, dans cette région de l'extrême est du pays. Suite... Deux projets d’envergure réceptionnés en 2008 . Deux grands projets d’utilité publique pour la ville de Souk Ahras seront réceptionnés au cours de l’année 2008, apprend-on auprès des responsables. Il s’agit, d’abord, de la double opération de réhabilitation et d’extension de la grande mosquée El Amen, classée « construction menaçant ruine » par les services techniques depuis des années.
Appelé à assumer le rôle d’institution religieuse, éducative et culturelle, ce futur pôle sera doté d’autres structures, à savoir une salle de conférences, une école pour l’apprentissage du Coran, une grande bibliothèque. Suite... ; Les vrais faux espaces verts . Souk Ahras souffre cruellement de l'absence quasi totale d'espaces verts. Le béton mais aussi l'esprit bétonné de certains gestionnaires ont réduit la ville à un immense stalag où il ne fait pas du tout bon y vivre.
Pour humer l'air pur et naturel de la verdure, le citoyen -doté de moyens- est invité à aller voir ailleurs, en dehors des sentiers battus de la ville, là où la mise à mort du «vert» n'a pas encore été prononcée. Suite... . Six fonctionnaires de l'hôpital sous contrôle judiciaire
Le juge d'instruction près le tribunal de Souk Ahras a ordonné, hier, au terme d'une instruction de douze heures, la mise sous contrôle judiciaire de six fonctionnaires de l'EPH (Etablissement public hospitalier), nouvelle dénomination de l'ex-hôpital régional de Souk Ahras, dans le cadre de l'enquête diligentée suite à la mort survenue le 8 janvier. Suite... La gestion des œuvres sociales décriée Le trafic d’influence et les dilapidations de fonds étaient monnaie courante dans cette wilaya avant l’ouverture d’une série d’enquêtes judiciaires dissuasives. Protesta des commerçants du marché incendié . Une centaine de commerçants, locataires du marché couvert de Laalaouia» à Souk Ahras, se sont rassemblés pour la deuxième fois de suite hier matin, près du siège de l'APC, pour demander la réouverture de la structure commerciale, partiellement incendiée, il y a une semaine de cela. Suite à un court-circuit, un incendie a dévasté la toiture d'une dizaine de stands sur les 111 que compte le marché. Une centaine de commerçants, locataires du marché couvert de Laalaouia» à Souk Ahras, se sont rassemblés pour la deuxième fois de suite hier matin, près du siège de l'APC, pour demander la réouverture de la structure commerciale, partiellement incendiée, il y a une semaine de cela. Suite à un court-circuit, un incendie a dévasté la toiture d'une dizaine de stands sur les 111 que compte le marchéEn chômage forcé, les contestataires sollicitent le maire pour autoriser les commerçants, dont les rayons ont échappé au feu, de reprendre du service, en attendant la réfection progressive de l'aire incendiée. Une requête motivée, selon les marchands, par la précarité de leurs conditions sociales qui n'admettent pas davantage d'inactivité, arguant qu'ils ont des familles à charge et des bouches à nourrir... Ce discours n'a, à l'évidence, pas beaucoup de chance d'aboutir, compte tenu de la détermination affichée par les gestionnaires communaux, qui ne veulent pas courir un risque inutile qui pourrait donner lieu à de néfastes retombées. Suite.... |
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Les dangers de l’Askarel et de l’amiante en débat à Souk Ahras Plus de 20 sites à risques recensés Une journée d’étude sur les risques des huiles askarel (ou PCB) et de l’amiante, organisée mercredi au niveau de l’entreprise nationale des peintures (ENAP) par l’inspection du travail de la wilaya de Souk Ahras, a permis aux participants de mettre en relief le danger que représentent ces produits toxiques sur la santé des travailleurs et par ricochet, celle de toute la population.
Des machines et équipements, fonctionnant à base d’askarel, importés avant 1987, sont des sources potentielles de maladies incurables et de contamination pour les personnes en contact régulier ou/et permanent avec cet équipement. Ce liquide visqueux, incolore, irréductible, inflammable à 300° et extrêmement toxique, tel que défini par les intervenants, a été utilisé pour la première fois en 1929 dans les pays occidentaux. Les graves accidents mortels qui ont eu lieu au Japon et aux USA ont amené ses premiers utilisateurs à interdire sa commercialisation. En Algérie, où des sinistres ont été enregistrés avant 1987 à Blida, El Khroub, Mostaganem, Aïn Smara, Boumerdes et Boufarik, l’achat, la vente, l’importation, l’utilisation à n’importe quelle fin de ces huiles toxiques sont interdits depuis l’année 2007 et réprimés par la loi 03/83 et le décret 182/87. La mise en application de ces textes a, certes, réussi à minimiser les risques mais n’a pu résoudre le problème de manière définitive. Des transformateurs, des condensateurs et autres équipements, fonctionnant à base d’askarel, sont toujours à l’hôpital Ibn Rochd, au centre de formation professionnelle de Sédrata, aux parcs d’Algérie Télécom, de l’APC de Souk Ahras et dans au moins 20 autres sites recensés récemment. Une seule firme franco-belge détient la technologie d’élimination de ces huiles. Les risques de déplacement du matériel et les dépenses onéreuses d’une telle opération la rendent impossible. L’on se limite, pour l’heure, à isoler les machines qui contiennent cette substance. Convié à ce rendez-vous, le docteur Saïdia, a expliqué avec force détails les effets immédiats provoqués par ces huiles toxiques sur la santé des citoyens, en cas de contamination. « Le sujet atteint présente souvent des troubles oculaires tels que la déformation des objets perçus et l’absence de couleurs, des amnésies, des céphalées rebelles au traitement, une somnolence, des troubles hépatiques et des cas de cancer du foie, de leucémie et autres maladies incurables », a-t-il précisé. Le représentant de Sonelgaz insistera, quant à lui, sur les mesures préventives devant être mises en application, ajoutant : « Les condensateurs et les transformateurs qui fonctionnaient autrefois à base d’askarel doivent être isolés, placés sur une plate-forme étanche dans une température ambiante avec bacs de sable et extincteurs pour prévenir tout accident pouvant dégénérer en catastrophe naturelle, notamment pour les cas d’incendie ». Le directeur de l’unité des peintures de Souk Ahras (UPSA), en l’occurrence M.Dahmani, évoquant l’expérience de son entreprise, a précisé que l’isolation de ces équipements nécessite des moyens humains et matériels importants, proposant par la même occasion le concours de son entreprise pour prévenir les risques d’accidents. « Nous avons remplacé 16 condensateurs qui contiennent cette substance toxique pour les remplacer par d’autres nouvellement acquis », a-t-il conclu. Les intervenants ont tenu, par ailleurs, à soulever le même problème par rapport aux entreprises en instance de liquidation et celles confrontées à des difficultés financières, où les équipements fonctionnant à base d’askarel ne peuvent être isolés conformément aux conditions requises. Les effets cancérigènes de l’amiante, matière contenue dans des matériaux de construction, les voies de canalisation des eaux et les constructions préfabriquées, a été l’autre volet débattu lors de cette rencontre. Les intervenants, qui ont sollicité la collaboration des services de la Dlep et ceux de l’OPGI, ont émis le vœu de lancer une campagne de sensibilisation pour éliminer cette matière toxique des anciennes bâtisses. D’autres ont révélé que l’on continue à utiliser l’amiante, matière prisée pour son coût et sa résistance même dans des constructions récentes. La création d’une cellule, composée de plusieurs partenaires, aura pour tâches principales l’information, la sensibilisation et la prévention contre ces matières toxiques, et sera une alternative recommandée par les participants et animateurs de cette journée d’étude. |
