Hormis le grand boulevard qui s’étend sur près de 2 kilomètres à l’entrée nord de la ville de Souk Ahras et qu’on est en train de rénover à coups de milliards pour donner un aspect moderne à une cité qui s’enfonce chaque jour dans l’anarchie et la ruralisation, tout le reste est abandonné ou presque au grand dam d’une population qui subit les contrecoups d’une gestion catastrophique où les passe-droits sont légion.
Colère de 16 familles habitant la ruelle Achour, située à la rue El Fidha au niveau de la daïra de Sedrata. Ces familles souffrent le martyre en l’absence des commodités les plus élémentaires de la vie (pas de gaz de ville ni, réseau d’assainissement).
Des lobbies financiers ont fait main basse sur la vie politique de la wilaya en ayant recours à la « chkara ».
418 logements sociaux attendent d’être distribués au chef-lieu de la wilaya de Souk-Ahras face à une demande dépassant les 12 500.
Brûler, détruire des biens publics ou massacrer des personnes pour un match fut-il important pour ce prestige qui nous manque tant relèvent non pas de l’amour du pays mais de la désintégration totale des fonctions cognitives de nos enfants.
Des pluies orageuses assez marquées localement, pouvant atteindre 100 mm , accompagnées parfois de grêle, affecteront à partir de ce dimanche soir la régions de Souk Ahras, indique un bulletin météorologique spécial (BMS) de l’Office national de la météorologie.
Les services de la Protection civile ont entamé, depuis la semaine dernière, un programme de sensibilisation contre les inondations, et ce conformément aux directives et orientations émanant de la direction générale.
Lors d’une bagarre, le 10 mars 2007 à Udine en Italie, Abdelmalek Bayout d’origine algérienne a poignardé à mort un homme qui l’avait traité de « pédé ». Mais un élément a attiré la clémence de la cour d’appel de Trieste : la mise en évidence de « gènes de la violence » dans son ADN.
En ce 1er novembre 2009, nous commémorons le 55e anniversaire du déclenchement, par nos aînés, de la guerre de Libération nationale qui mit fin au cauchemar colonial vécu depuis 1830. Nous pensons aujourd’hui à la somme colossale d’engagements et de sacrifices individuels, d’actes de foi et de courage qu’il fallut à notre peuple pour reprendre en main sa destinée confisquée.
Triste mésaventure que celle que vient de vivre l’écrivain Mehdi El Djezaïri, auteur du sulfureux roman Poutakhine. Journal presque intime d’un naufragé, paru récemment à compte d’auteur. «Neuf policiers ont débarqué chez moi ce vendredi et ont perquisitionné ma maison de fond en comble.